jeudi 13 mars 2008

Multimédias : blog éducatif

Attention

et

concentration


 


 

En partant d'une expérience personnelle pendant le stage que j'ai réalisé en CM2, la question de l'attention des élèves m'a incitée à y prolonger profondément.
Benoit est un élève très intelligent. Ce qui le diffère des autres non attentifs c'est son excellente réussite. En effet on a l'habitude de dire que les enfants non attentifs ne réussissent pas leurs études ou ne réussissent pas bien... Or Benoit il réussit très bien. En revanche, il se connait qu'il ne peut pas être attentif à tous les moments en classe... ce qui est magnifique dans son cas c'est qu'il s'accepte, il n'a pas honte de lui même... il dit au professeur: je ne sais pas quoi faire devant tout le monde au tableau...
Comment faire pour aider nos enfants?

Regarder un enfant rêveur à sa table de travail est assez courant. On le voit mal assis et son regard est flou...
Regarder un enfant agité, il ne tient pas tranquille sur sa chaise. On dit de lui qu'il a trop d'énergie.
Ces deux ont des difficultés à être attentifs. L'attention est un mécanisme essentiel pour l'apprentissage. Etre attentif, c'est mobiliser ses cinq sens pour recevoir, chercher, sélectionner et traiter les informations pertinentes dont on a besoin.
Que faire avec les enfants qui ont du mal à être attentifs? Quelle méthode en choisir?

Etre attentif veut-il dire être calme ? Être en attente? Écouter le professeur? Être sage ne signifie pas être attentif ! Il est en attente de quoi ? Pourquoi ? Comment va-t-il s'approprier la connaissance ? Dans quel but ?


Veiller aux méthodes du travail:


Eviter les répétitions à l'identique et renouveler les formes sous lesquelles on présente les connaissances.
L'enfant est attentif quand la connaissance l'intéresse et quand il est motivé.
Être attentif, c'est savoir que faire de son attention.

Les quatre attentions :


- La vigilance ou le guet
C'est l'attention du pêcheur, du chasseur, du soldat qui monte la garde, de tous ceux qui pour une raison ou une autre font le guet. On peut croire que le pêcheur rêve, mais une partie de lui est attentif. Il attend que morde le poisson. Il guette le mouvement du fil, prêt à agir dès qu'un poisson s'accrochera à sa ligne. C'est l'attention que doit avoir un enfant quand il fait une dictée. Il guette les verbes se terminant par le son « é » pour réfléchir à comment les écrire (er ou é ?) Il guette le mot leur pour ne pas l'écrire sans avoir réfléchi à sa terminaison (leur ou leurs ?)

- L'attention sélective
Il s'agit de l'attention que l'on porte à quelque chose. C'est un choix, une sélection.
Imaginez un dîner. Autour de la table, plusieurs personnes parlent en même temps. Vous les entendez, mais leurs voix se confondent en un bruit de fond car vous n'écoutez qu'une seule d'entre elles. Vous êtes attentif à ce que vous dit cette personne et à elle seule.
Cette attitude sélective est ce vers quoi un enfant doit tendre pendant un cours. Il est attentif à ce que dit le professeur, à ce qu'il écrit au tableau, et il ne se laisse pas distraire par les bruits dans la classe, par ce que racontent les élèves assis derrière lui, par le copain qui tousse ou celui qui rit.

- L'attention partagée
Dans ce cas, on prête attention à deux choses, à deux personnes en même temps. Au cours du dîner, vous pouvez écouter ce que disent deux des convives. Mais cette attention ne peut bien sûr avoir la qualité de l'attention sélective. Vous ne pourrez la soutenir très longtemps, surtout si la conversation est un peu complexe. Vous aurez des difficultés à mémoriser tout ce qui est dit.
Pour cette raison, les enfants devraient éviter de travailler en regardant la télévision ou en écoutant leur émission de radio favorite.

- La focalisation
C'est l'attention que l'on a quand on est passionné, absorbé dans une tâche.
Intérêt, plaisir, réussite, motivation sont des facteurs favorisant la concentration. Passivité, stress, répétition de la tâche ou sa monotonie sont des facteurs qui la perturbent.
La durée idéale d'une séance de travail, pendant laquelle votre enfant se concentre, est de l'ordre de vingt à quarante minutes. Bien entendu, cela dépend de son âge et de son habitude à le faire. Il faut obligatoirement alterner les séquences de travail et les pauses. Ces moments de détente - de dix bonnes minutes chacun- sont nécessaires au cerveau pour stocker ce qui lui a été amené, pour se préparer à un nouvel apprentissage. Sans ces pauses, il serait illusoire d'exiger une quelconque concentration.
Se concentrer est une habitude à acquérir.

* L'important est d'apprendre, en délimitant un espace de travail, à délimiter le temps de travail. Quand il se met à penser à autre chose et n'arrive plus à être attentif, il se lève. Il peut boire un verre de lait, manger un fruit, s'amuser avec le chat, faire un exercice de relaxation(6), mais il n'ouvre pas la télévision, ce qui l'empêcherait de retrouver facilement sa concentration.

* Maîtriser son attention et sa concentration
- On observe la durée de son attention, de sa concentration selon le support (lecture ou écoute), le travail (compréhension, mémorisation, réflexion), la matière, l'intérêt qu'on y porte, également le moment de la journée et le lieu.- S'observer pour avoir conscience des moments où l'on « décroche » d'une tâche pour parvenir à « raccrocher » au plus tôt.
La démarche suivante est l'entraînement et l'utilisation de stratégies.
- Apprendre à moduler son attention pendant le cours : attention légère quand le professeur rend des copies, parle d'un point qu'il maîtrise déjà parfaitement ; attention plus soutenue quand il s'agit d'écouter le cours ; concentration pour comprendre un point difficile, pour un effort de réflexion.
- Utiliser des stratégies de lecture pour éviter que son esprit ne s'évade : noter dans la marge les mots-clés. Des stratégies d'écoute : fermer les yeux, poser le regard sur une surface neutre pour qu'aucune sollicitation visuelle ne vienne le perturber.


Définition de l'attention

L'attention est une mise en disponibilité de tous les canaux sensoriels orientés vers la recherche et l'enregistrement des informations susceptibles d'être utiles. Elle est un état de vigilance dans lequel se trouve l'individu sachant qu'il existe plusieurs niveaux d'attention : cela va de la concentration où ici, tout le coût attentionnel est centré sur une tâche unique, ce qui permet d'employer le maximum de capacités cognitives. Aussi, il y a d'autres types d'attention comme l'attention partagée, c'est le cas où tu es en voiture, tu conduis et en même temps tu parles à Germain. Tu réalises donc 2 tâches par les processus attentionnels. L'attention se rattache donc à d'autres notions psychologiques, comme la motivation (degrés de motivation est significatif dans la réussite/échec de la tâche et le coût attentionnel attribué) ou alors la capacité à réaliser une tâche soi-même : la tâche se réalise– t- elle de façon automatique, contrôlée, comme c'est le cas de la conduite d'une voiture. Le nombre d'informations nouvelles peut être à l'origine de surcharge mentale par exemple.


Explications:

Mise en disponibilité:
Indique un état de réception, de disposition, de préparation mentale. Cette disposition facilite l'écoute, ce qui correspond à la première
nécessité pour une prise de notes efficace (voir La prise de notes).
Tous les canaux sensoriels: l'attention nécessite l'utilisation de toutes les ressources du système, de tous les sens pour augmenter la quantité d'information ou de données environnantes qui pourront être captées.

Nous croyons souvent qu'il suffit de parler pour être compris, ou au moins être "entendus", ou qu'il suffit de montrer pour que ce que nous montrons soit "vu". Tous ceux qui enseignent ou qui simplement tentent de communiquer à d'autres des idées savent qu'il n'en est rien. Nous nous basons sur différentes théories de l'apprentissage pour permettre à chaque élève d'identifier et de développer sa propre méthode, en adéquation avec son mode de fonctionnement, ses forces et ses faiblesses. Dans tous les cas, le succès de l'élève commence par une réelle mise en projet, où il décide d'être l'acteur principal de son apprentissage.

L'attention au cours est un ingrédient de la réussite, car elle permet de percevoir et d'effectuer une première mémorisation des notions et concepts. L'attention n'est pas naturelle : il faut décider d'être attentif ! Afin d'aider les élèves à se concentrer, limiter la taille des classes à une douzaine d'élèves et éviter de trop longues périodes sans interruption. Chaque jour, une heure de sport permet aux élèves de se défouler physiquement et de relâcher les tensions.


Quelques causes de l'inattention des élèves :

* Bruit / Climat

* Disposition de la classe

* Planification des matières

* Longueur de la séance

* Matière enseignée

* Caractère personnel: rêveur/super actif

* Problème familial / social

* Manque de confiance en soi /d'estime en soi


* Méthode de l'enseignant

* Cours magistral

* Voix et tonalité de l'enseignant

* Fatigue / maladie / douleur

* Style cognitif

Inattention : quelques remèdes

Bonjour à tous
Aujourd'hui en continuant mes recherches sur internet, j'ai découvert un forum très intéressant sur le sujet ayant comme introduction d'accueil:

Tous les enfants sont différents...
Les nôtres le sont à cause de leur hyperactivité, de leur déficit d'attention, parce qu'ils sont surdoués ou pour d'autres raisons. Nous avons hélas pris l'habitude de subir le jugement et les critiques des autres. Sur ce forum nous pouvons parler en toute tranquillité car nous savons que nous ne serons pas jugés mais aidés et épaulés.
Voici une lettre écrite par un jeune garçon à sa maitresse d'école... à méditer...


«  Chère Madame....,

Je suis très sensible. Je fais beaucoup d'efforts mais vous ne le savez pas.
Je prends mon médicament tous les jours le matin.
Ça m'aide beaucoup à me concentrer.

Vendredi dernier je l'avais oublié. Quand je l'oublie j'entends tout, je vois tout et je ressens tout en même temps. Tout se mélange dans ma tête. Si vous criez je suis tout mélangé aussi dans mes sentiments. Ca me stresse beaucoup et j'ai envie de partir mais je ne peux pas. L'après midi l'effet de mon médicament est parti. Si je gigote et je n'écoute pas ce n'est pas la peine de me crier dessus puisque ca ne sert a rien et c'est pire dans mes sentiments après. J'essaye très fort de me contrôler mais je n'y arrive pas. Parfois je ne comprends pas ce que vous dites. Vous demandez si on a compris et je dis non mais vous n'entendez pas. Plus tard je viens vous demander et vous criez avec moi : « Mais Samuel, tu n'as pas compris, tu n'as pas bien écouté !» J'ai écouté mais je n'ai pas bien compris. J'ai honte devant les autres et j'ai encore plus peur. Alors je pleure dans mon cœur mais je ne le montre pas parce que j'ai peur d'avoir encore plus honte. Je voudrais bien arrêter de faire tout ca et je pleure tous les soirs à cause de ca. Parce que je voudrais bien me comporter correctement. Parfois, quand je suis très énervé l'après midi je prends de la grande respiration. 5 fois. Ca me calme.
S'il vous plait, vous devez aussi faire ca. Je peux vous montrer. Respirez avec le nez et soufflez avec la bouche lentement et profondément. Pas de l'air des cigarettes, ca vous rend en colère et ce n'est pas bon pour vous. S'il vous plait ne me faites pas peur. J'ai envie d'aller dans les bras de ma maman quand vous criez et je ne pense plus qu'à ca alors je ne peux plus travailler. »



Comment détecter un enfant inattentif?


Un enfant inattentif est impulsif, éprouve des difficultés à rester assis à la même place : il gigote, se tortille, balance ses jambes, ne cesse de chipoter, de toucher tout ce qui lui tombe sous les yeux. S'il a dû rester longtemps assis, il éprouve un irrésistible besoin de se défouler en courant, hurlant, en s'agitant comme un pantin. Il est déchaîné. Même quand ses parents ou ses professeurs le rappellent à l'ordre il n'arrive pas à se contrôler plus de quelques instants. L'hyperactivité est d'abord un problème très apparent. Cet enfant contrairement à la moyenne des enfants est constamment en mouvement. Il éprouve des difficultés à rester assis calmement, même si ce n'est que pour quelques secondes.

Comment reconnaître un enfant souffrant d'hyperactivité?

L'enfant :

Il a souvent des problèmes d'apprentissage à l'école, il parle de manière excessive. Il est inépuisable mais épuisant pour son entourage
Quand il est assis se tortille sur sa chaise. Il trouve des tas de raisons pour se lever de table pendant les repas. Il passe souvent d'une activité non terminée à une autre. Il a des difficultés à jouer calmement. Il égare sans arrêt son matériel scolaire ou son manteau etc. Il joue souvent avec des objets dans ses mains. Il fait preuve d'impulsivité; il a d'énormes difficultés à penser avant d'agir, il souffre d'une perte d'estime de soi
nécessite une surveillance constante en raison de son absence d'anticipation du danger. Il ne tire aucune leçon de ses expériences. Il ne fait pas attention aux détails et commet des erreurs grossières dans son travail scolaire, son travail ou autres activités. Il éprouve souvent de la difficulté à maintenir son attention sur un travail ou sur un jeu. Il a souvent l'air de ne pas écouter ce qu'on lui dit. Souvent il ne suit pas les instructions reçues et ne complète pas les travaux demandés. Il a des difficultés à organiser son travail et ses activités. Il évite ou a de la difficulté à s'engager dans des tâches ou du travail qui exigent un niveau soutenu d'effort intellectuel, comme les travaux scolaires. Il est facilement distrait par un stimulus extérieur. Il oublie souvent des choses lors d'activités quotidiennes. Il se fâche facilement. Il a peu d'amis. Il est souvent seul.


Un traitement efficace devrait :


Tout d'abord aider l'enfant à mieux comprendre sa situation en lui expliquant ce qu'est l'hyperactivité. Ensuite apprendre à gérer la situation aussi bien au niveau des parents, de l'enfant, de la famille que des professeurs. Les techniques visant à féliciter l'enfant pour ce qu'il fait de bien au lieu de le punir pour ce qu'il fait de mal ont fait leurs preuves. Il est très important de féliciter l'enfant pour ses comportements qui méritent d'être encouragés (la récompense doit souligner l'effort, non le résultat).
Trouver ce qui intéresse cet enfant et... exploitez ces intérêts. Accorder à l'enfant plus d'importance qu'à ses résultats scolaires. Il faut être capable de prendre en considération les sentiments et émotions qui peuvent parfois diminuer ses performances scolaires.
Trouver le style cognitif de l'enfant c'est-à-dire comment il apprend et ce qu'il apprend. Établir des règles et de lois consistantes, des routines et des transitions. Amener l'enfant à développer son autocontrôle et le respect de soi.



Voici quelques méthodes pour aider un enseignant :


Connaissez vos limites. N'ayez pas peur de demander conseil. En tant que professeur, vous ne pouvez pas vous croire un expert sur un tel sujet. Sentez-vous à l'aise de faire une demande d'aide quand le besoin se fait sentir. Demandez à l'enfant ce qui peut l'aider. Ces enfants savent souvent ce qui leur convient ou ne leur convient pas. Prenez le temps de créer un climat de confiance avec vos élèves. Rappelez-vous que les enfants ont besoin de structure. Ils ont besoin que leur entourage construise au-dehors ce qu'ils ne peuvent construire à l'intérieur d'eux-mêmes.
Fournir une liste ou un aide-mémoire à l'enfant afin qu'il puisse s'y référer lorsqu'il se sent perdu dans les nombreuses tâches qu'il a à effectuer.
Vérifiez dès le début si vous avez bien toute l'attention. Diviser les activités en petites étapes pour encourager le sentiment de maîtrise et réduire les risques d'échec et de frustration. Établissez souvent le contact visuel "les yeux dans les yeux ". On peut " ramener " un enfant par le contact visuel. Faites-le souvent. Un coup d'œil peut sortir l'enfant de sa rêverie ou lui donner la permission de poser une question ou encore lui donner un accord silencieux. Souvenez-vous de la partie affective de l'apprentissage. Ces enfants ont besoin d'aide pour trouver du plaisir dans la classe, de la maîtrise au lieu de l'échec et de la frustration, de la stimulation à la place de l'ennui ou de la peur. Il est important de se soucier des émotions qui accompagnent le processus d'apprentissage.
Affichez les règles. Écrivez-les nettement et mettez-les en évidence. Les enfants seront rassurés, sachant ce que l'on attend d'eux.
Répétez les instructions. Écrivez-les. Discutez-les. Ces enfants ont besoin d'entendre les mêmes conseils plus d'une fois.
Asseyez l'enfant près de votre bureau afin de limiter les sources de distraction et faciliter sa concentration sur les explications ou les travaux à faire. Posez des limites, des frontières. Ceci les contient et les calme, sans être répressif. Faites-le avec consistance, prévoyance, promptitude et fermeté. Élaborez un plan de travail aussi prévisible que possible. Affichez-le au tableau ou sur le bureau de l'enfant. Faites-y souvent référence. Si vous devez le modifier, comme tout bon professeur le fait souvent, avertissez bien à l'avance et donnez tout le temps de préparation nécessaire. Restreignez la quantité d'écrit de l'élève sans pour autant en négliger la qualité. Donnez peu de travail à réaliser à la maison.

Félicitez,

soulignez,

approuvez,

encouragez

rendez-vous disponibles.





Fiche de lecture du livre « Dénouer l'échec scolaire » De Varinia OBERTO & Alain SOTTO

Introduction :

Tout enfant venant à la vie possède un mouvement naturel tel que s'ouvrir au monde et au sens de son existence. Poussé par une saine curiosité au départ, l'enfant a un fort désir d'apprendre, de comprendre et de se construire en tant qu'être de savoir et de grandir. Tous les enfants peuvent réussir, se connaître et s'éveiller à eux-mêmes à savoir l'intérêt qu'ils montrent lors d'un domaine qu'ils aiment et où ils se retrouvent. Ils avancent mais souvent, leur élan est stoppé par un manque de confiance, une méconnaissance de soi, une absence de savoir faire. … Il suffit de leur révéler leur capacité, de la dynamiser en convoquant la passion, motivant l'imagination et poussant la curiosité dans le sens où ils prennent plaisir à apprendre.

Deux auteurs passionnés, Varinia OBERTO et Alain SOTTO. L'une est pédagogue et écrivain, auteur de scénarios dans le multimédias éducatif. Elle travaille sur le sens à donner à l'apprentissage. Et l'autre psychosociologue et neuropédagogue, il est spécialisé dans les stratégies d'apprentissages concernant bien les enfants que les adultes.

Dans ce livre, ils s'appuient sur des cas concrets, sur des personnes qu'ils ont bien rencontrées dans leur parcours. En dialoguant ils échangent leur point de vue sur les méthodes de base pour une construction harmonieuse de l'intelligence. Ils s'adressent aussi bien aux parents que les enseignants et tout le corps éducatif accompagnant l'enfant…


 

Développement :

Lecture personnelle :